« L’homme sa vie durant, n’utilise qu’une infime partie de ses capacités intrinsèques ».          C’est, en substance, le constat sur lequel, quelque soit leurs disciplines et chapelles, les chercheurs sont unanimes. De là, il va de soi que chacun y aille de sa théorie du développement personnel. Les écoles ne manquent pas, qui connaissent, avec le temps, des fortunes diverses. La Méthode Prospective d’optimisation des Potentialités Endogènes (MPOPE) se propose avec, pour spécificité, de ne point considérer l’individu pour lui même mais comme donnée à optimiser pour induire l’effet d’échelle dans un corps social donné. A l’heure où le chômage sévit et que toutes les stratégies de management avec elles, même  la prestigieuse école américaine, amplement vantée, qui toutes rendent gorge ; la MPOPE soutient que c’est un non sens de parler de « Diplômés sans emploi ». Il faudrait plutôt dire des « Potentialités à valoriser ».  Justifiant de sa propriété de méthode à dimension prospective, la MPOPE affirme que les notions                    d’ « emploi » donc « d’employés » sont dépassés, sinon en passe de l’être et finiront par sortir de la culture, quand par la force des crises , tout homme en arrivera à se savoir « une potentialité à valoriser ». Le philosophe ne dit-il pas à juste effet, que « L’art nait de contrainte, vit de lutte et meurt de liberté ». C’est le défi à engager avec les  jeunes générations, à savoir : s’inscrire dans une démarche faite de rupture épistémologique qui seul, pourra donner d’interroger de façon prospective, les savoirs endogènes de nos patrimoines culturels, et ainsi, mettre les nouvelles technologies au service du génie africain  pour sortir nos pays de l’ornière du sous développement chronique.